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La durabilité était autrefois un simple argument marketing. Aujourd'hui, c'est la première question que posent les partenaires, une exigence que les lieux d'exposition inscrivent dans leurs contrats et une attente tacite du public.
Le sol est la plus grande surface d'un salon. C'est aussi ce à quoi on prête le moins attention.
L'électricité est invisible, jusqu'à ce qu'elle ne fonctionne plus. Elle se trouve alors au centre de toutes les conversations.
Demandez à n'importe quel·le organisateur/organisatrice ce qui l'empêche de dormir la nuit. Un indice : ce ne sont pas (que) les chiffres de fréquentation, mais bien les e-mails des exposant·e·s.
Chaque exposition a ses allées, ses stands et ses files d'attente pour le café. Mais ce qui rend un salon inoubliable, ce sont ses espaces communs : les espaces conférence et lounge, et les zones de démo et d'inscription qui lui confèrent son style et son rythme.
Depuis près d'un siècle, nous créons du lien entre les individus et les expériences. Au fil du temps, nous avons appris une chose simple : le succès d'un salon ne repose pas sur un seul élément spectaculaire, mais sur un écosystème harmonieux de centaines de petits détails.
Les exposant·e·s n'achètent pas des mètres carrés de moquette. Ils/elles achètent la possibilité d'être remarqué·e·s, et la différence entre être vu·e·s et ignoré·e·s se résume souvent aux éléments graphiques et aux options d'amélioration.
Si les salons étaient des romans, la signalétique en serait la ponctuation. On la remarque quand elle est absente. On la remarque encore plus quand elle est mal pensée.
Soyons honnêtes. L'expression « stand nu » sonne comme une libération pour les exposant·e·s, jusqu'à ce qu'ils/elles réalisent qu'en réalité, elle signifie « débrouillez-vous ». Pas de cloisons. Pas de personnalisation. Pas de plan. Juste un morceau de moquette (et parfois, même pas ça).
Tout le monde parle de ventes, de fréquentation et d'expérience, mais rien de tout cela n'est possible sans un plan de salon. C'est la base de votre événement, et il est temps de cesser de le traiter comme une simple tâche administrative.
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Les exposant·e·s apprécient la liberté qu'offre un emplacement de stand nu. Un sol vierge leur donne la maîtrise de l'espace, l'ambition et la possibilité de faire sensation. Mais la liberté s'accompagne de responsabilités, et souvent, du sentiment d'être submergé·e.
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La durabilité était autrefois un simple argument marketing. Aujourd'hui, c'est la première question que posent les partenaires, une exigence que les lieux d'exposition inscrivent dans leurs contrats et une attente tacite du public.
Le sol est la plus grande surface d'un salon. C'est aussi ce à quoi on prête le moins attention.
L'électricité est invisible, jusqu'à ce qu'elle ne fonctionne plus. Elle se trouve alors au centre de toutes les conversations.
Demandez à n'importe quel·le organisateur/organisatrice ce qui l'empêche de dormir la nuit. Un indice : ce ne sont pas (que) les chiffres de fréquentation, mais bien les e-mails des exposant·e·s.
Chaque exposition a ses allées, ses stands et ses files d'attente pour le café. Mais ce qui rend un salon inoubliable, ce sont ses espaces communs : les espaces conférence et lounge, et les zones de démo et d'inscription qui lui confèrent son style et son rythme.
Depuis près d'un siècle, nous créons du lien entre les individus et les expériences. Au fil du temps, nous avons appris une chose simple : le succès d'un salon ne repose pas sur un seul élément spectaculaire, mais sur un écosystème harmonieux de centaines de petits détails.
Les exposant·e·s n'achètent pas des mètres carrés de moquette. Ils/elles achètent la possibilité d'être remarqué·e·s, et la différence entre être vu·e·s et ignoré·e·s se résume souvent aux éléments graphiques et aux options d'amélioration.
Creative & Design
Signalétique : l'influenceuse discrète de chaque événement
Si les salons étaient des romans, la signalétique en serait la ponctuation. On la remarque quand elle est absente. On la remarque encore plus quand elle est mal pensée.
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Pourquoi les stands modulaires sont l'avenir des expositions
Soyons honnêtes. L'expression « stand nu » sonne comme une libération pour les exposant·e·s, jusqu'à ce qu'ils/elles réalisent qu'en réalité, elle signifie « débrouillez-vous ». Pas de cloisons. Pas de personnalisation. Pas de plan. Juste un morceau de moquette (et parfois, même pas ça).
Tout le monde parle de ventes, de fréquentation et d'expérience, mais rien de tout cela n'est possible sans un plan de salon. C'est la base de votre événement, et il est temps de cesser de le traiter comme une simple tâche administrative.
Les exposant·e·s apprécient la liberté qu'offre un emplacement de stand nu. Un sol vierge leur donne la maîtrise de l'espace, l'ambition et la possibilité de faire sensation. Mais la liberté s'accompagne de responsabilités, et souvent, du sentiment d'être submergé·e.
Tout grand événement commence par un modeste stand. Pour les primo-exposant·e·s, on parle généralement d'un stand pré-équipé.
On est tou·te·s passé·e·s par là. L'événement bat son plein, l'équipe commerciale de l'organisateur ou organisatrice tente de s'assurer que les exposant·e·s renouvellent leur participation pour l'année suivante, et le plan de salon se trouve… quelque part. Peut-être imprimé. Peut-être dans une boîte mail. Peut-être déjà obsolète.
Chaque organisateur ou organisatrice a déjà connu ce sentiment d'angoisse.
Les visiteurs et visiteuses voient des lumières, des stands et des allées bondées. Les exposant·e·s voient des prospects, des rendez-vous et des contrats. S'il est une activité qui passe inaperçue, mais qui est indispensable à tout le monde, c'est bien la logistique.
